Cela fait une différence précieuse, que vous mettiez du lactosérum ou de la caséine dans les shakes que vous buvez auparavant ainsi qu’après une séance d’entraînement d’endurance. Les scientifiques du sport de l’Université de Mary Hardin-Baylor tirent cette dernière pensée d’une étude dans laquelle ils ont fourni 16 joueurs de basket-ball ou caséine auparavant ainsi qu’après leurs entraînements d’endurance.
Cela fait une différence précieuse, que vous mettiez du lactosérum ou de la caséine dans les shakes que vous buvez auparavant ainsi qu’après une séance d’entraînement d’endurance. Les scientifiques du sport de l’Université de Mary Hardin-Baylor tirent cette dernière pensée d’une étude dans laquelle ils ont fourni 16 joueurs de basket-ball ou caséine auparavant ainsi qu’après leurs entraînements d’endurance.
La caséine est constituée de longues chaînes d’acides aminés qui ne se dissolvent pas dans l’eau. Dans le ventre, la caséine développe une masse qui est digérée assez lentement. Les acides aminés apparaissent lentement dans le sang après avoir ingéré de la caséine.
Le lactosérum en revanche se compose de courtes chaînes d’acides aminés qui se dissolvent dans l’eau. Les acides aminés apparaissent rapidement dans le sang après avoir ingéré de lactosérum, mais le «pic d’acide aminé» est plus court.
Pour cette raison, les instructeurs de fitness encouragent les athlètes à utiliser le lactosérum rapide lors de l’exercice ainsi que la caséine pour combler des périodes plus longues où aucun exercice intensif n’est entrepris. Pendant ainsi qu’après un effort intensif, les muscles bénéficient d’une forte concentration d’acides aminés dans le sang.
Les chercheurs ont pris la décision de tester cette théorie sur les joueuses de basket-ball qui ont fait une musculation quatre fois par semaine ainsi que de courtes séances de «certains conditionnement» avec «l’agilité, le saut et le travail de sprint» trois fois par semaine.
La moitié des femmes ont été fournies 24 G un lactosérum d’une demi-heure avant la séance d’entraînement ainsi que encore une fois après. L’autre moitié a été fournie exactement la même quantité de caséine avant ainsi qu’après la session.
Avant le début de la supplémentation, ainsi que pendant huit semaines après, les chercheurs ont déterminé la composition corporelle des femmes. Le chiffre ci-dessous montre que les femmes qui avaient reçu du lactosérum avaient perdu une petite quantité beaucoup plus graisseuse et avaient gagné une petite quantité beaucoup plus de masse corporelle maigre que les femmes qui avaient reçu de la caséine. Cependant, les différences entre les deux groupes n’étaient pas significatives.
La figure ci-dessous montre le boost de l’endurance maximale dans les deux groupes. Le groupe de lactosérum a fait beaucoup mieux que le groupe de caséine mais, encore une fois, les différences ne sont pas significatives.
Les athlètes féminines qui souhaitent améliorer leur niveau de performance en faisant l’entraînement d’endurance peuvent bénéficier d’une supplémentation en protéines, concluent les chercheurs. «Il ne semble pas y avoir de différence dans les performances améliorant les impacts des protéines de lactosérum par rapport à la caséine, ainsi que les deux vérifient les performances athlétiques des athlètes féminines pour l’endurance ainsi que la composition corporelle», écrivent-ils.
Les impacts de l’utilisation de la protéine pré-et post-exercice par rapport à l’utilisation des protéines de caséine sur la structure corporelle ainsi que les procédures de performance chez les athlètes féminines collégiales.
Wilborn CD, Taylor LW, Outlaw J, Williams L, Campbell B, Foster CA, Smith-Ryan A, Urbina S, Hayward S.
Résumé
Deux des développements les plus importants de protéines sur le marché sont le lactosérum ainsi que la caséine. Les deux protéines proviennent du lait, mais chaque protéine diffère en taux d’absorption ainsi qu’à la biodisponibilité, il est donc possible que chaque type de protéine contribue d’une manière différente aux adaptations provoquées avec l’entraînement en résistance. Par conséquent, la fonction de cette étude de recherche a été de vérifier les impacts potentiels de l’ingestion de deux types de protéines en collaboration avec un programme de formation en résistance géré dans les joueuses de basket-ball collégiales. Seize joueuses de basket-ball de la NCAA Division III ont été jumelées en fonction de la masse corporelle ainsi que de manière aléatoire de manière en double aveugle pour prendre 24 g de protéines de lactosérum (WP) (n = 8, 20,0 ± 1,9 ans, 1,58 ± 0,27 m, 66 0 ± 4,9 kg, 27,0 ± 4,9% BF) ou 24 g de protéine de caséine (CP) (n = 8, 21,0 ± 2,8 ans, 1,53 ± 0,29 m, 68,0 ± 2,9 kg, 25,0 ± 5,7% bf) ainsi que post-exercice pendant huit semaines. Les sujets ont participé à un programme de formation périodisé ondulant supervisé de 4 jours par semaine. À 0 ainsi que 8 semaines, les sujets ont subi une analyse de la structure du corps DXA, ainsi qu’à 0 ainsi que 8 semaines ont subi une résistance maximale (1RM) de répétition, une endurance de masse musculaire, un saut vertical, 5-10-5 l’agilité Run, comme ainsi que de larges séances de test de saut. Les données ont été analysées en utilisant des procédures répétées ANOVA, ainsi que celles indiquées comme indiquant des modifications ± ET à partir de la ligne de base après 60 jours. Aucun impact considérable d’interaction du temps X n’a été observé entre les groupes dans les modifications de tout type de variable (p> 0,05). Un impact temporel considérable a été observé pour la graisse corporelle (WP: -2,0 ± 1,1% BF; CP: -1,0 ± 1,6% BF, p <0,001), masse maigre (WP: 1,5 ± 1,0 kg; CP: 1. 4 ± 1,0 kg, p <0,001), gras mASS (WP: -1,3 ± 1,2 kg; CP: -0,6 ± 1,4 kg, p <0,001), presse à la jambe 1RM (WP: 88,7 ± 43,9 kg; CP: 90,0 ± 48,5 kg, p <0,001), bench Press 1RM ( WP: 7,5 ± 4,6 kg; CP: 4,3 ± 4,5 kg, p = 0,01), saut vertical (WP: 4,1 ± 1,8 cm; CP: 3,5 ± 7,6 cm, p <0,001), 5-10-5 (WP: - - 0,3 ± 0,2 sec; CP: -0,09 ± 0,42 sec, p <0,001), ainsi qu'un saut large (WP: 10,4 ± 6,6 cm; CP: 12. 9 ± 7,1 cm, p <0,001). La combinaison d'un programme d'entraînement en résistance ondulé géré avec une supplémentation en protéines pré-et post-exercice est capable d'induire des modifications considérables de la performance ainsi que de la composition corporelle. Il ne semble pas y avoir de différence dans les effets d'amélioration des performances entre les protéines de lactosérum et de caséine. Les points de points cruciaux peuvent subir ainsi que des fabricants de performances de la consommation de protéines après l'entraînement en résistance. Les francs peuvent avoir une diminution de la structure des graisses corporelles lors de l'ingestion de protéines avec une formation quotidienne en résistance ainsi que du conditionnement. Il n'y avait pas de différence considérable dans les marqueurs de performance entre le lactosérum et comme caséine. PMID: 24149728 [PubMed] PMCID: PMC3761774 La source: